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  Ca y est... Le compte à rebours est terminé. Et je suis bien embêté... Dans Reconversion (2) et Reconversion (3), j'expliquais que le 25 mai était, a priori, la date butoir pour la demande de réintégration ou de prolongement de ma disponibilité. C'est demain... Le problème, car décidément, il y a toujours un problème est que je ne sais toujours pas quelle position je vais prendre. Et ce, pour plusieurs raisons.

  La quadrature du cercle complexifie encore ses engrenages et je me dis qu'elle porte bien son nom : la solution est encore loin d'être trouvée. Impossible, disais-je ? Etait-ce prémonitoire ? Sans doute. Peut-être aurais-je dû choisir un autre titre... Qu'importe !

  Prolongation ou réintégration ?

  Je m'explique. J'ai passé lundi un entretien pour un poste en détachement dans la fonction publique en adéquation avec mes désirs d'évolution professionnelle (plus de détails à venir). Même si j'ai peu d'espoir, et dans le cas ou je serais recruté, pour pouvoir l'intégrer, je vais devoir demander ma réintégration, justement. Le souci, c'est que la réponse ne me sera donnée que début juin.

  Asynchronismes.

  Idem pour la reprise d'études. La réponse me parviendra normalement la semaine prochaine. Si elle est positive, je vais devoir demander cette fois-ci une prolongation de ma disponibilité. Mais il sera trop tard pour le faire.

  Troisième cas, je suis recalé dans les deux projets... Que faire ? Là, je m'orienterais plutôt vers la création d'entreprise et de nouvelles prospections de postes. Donc, demande de prolongation. Ah mais oui, c'est vrai, il sera trop tard...

  La roue de la fortune.

  Autre possibilité, à laquelle je crois peu, j'obtiens deux réponses positives. Alors ? Argh, je vais devenir fou. Bon, comme disait l'ami Coluche (RIP), il vaut mieux avoir l'embarras du choix que le choix de l'embarras. C'est sûr. 

  Alors (2) ?

  J'ai contacté l'administration qui, elle, via voix discordantes, ne sait pas trop quoi me conseiller. Il se peut même que ma demande de prolongation de disponibilité ne soit pas acceptée. Dans ce cas, ce qui se profile l'an prochain, c'est la réintégration pure et simple et le retour à la case départ (sans toucher 20.000 euros).

  Qui a dit que la reconversion était simple ?

  Gros mal de tronche !

  Du coup, je ne sais plus quoi faire. Je pense que je vais la jouer franc jeu. Demain, au moment fatidique de la fin du compte à rebours, je vais envoyer un courrier à l'inspection académique en leur exposant clairement et honnêtement la situation, et donc en demandant un délai de réflexion, tout en espérant fermement qu'un peu d'humanité subsiste encore dans les couloirs froids de la machine.

  Oui, j'y crois... Je suis utopiste ? Peut-être... en même temps, ai-je vraiment le choix ?

  Quitte ou double.

  Evidemment, je me serais bien passé de ce "jeu de hasard" et de cette mauvaise synchronisation qui était somme toute prévisible, mais malheureusement, et je me répète, je n'ai plus vraiment le choix.

  Faîtes vos jeux, rien ne va plus, les dés sont (presque) jetés...

  Alea jacta est

  Le parcours du combattant continue !

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